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Extrait de la déclaration d´un Chef indien

Une des meilleures façons de comprendre la mentalité primitive est de lire la longue et étonnante déclaration que fit le chef indien Seattle en 1856 au général américain venu lui acheter des terres.
Ce texte figure dans de nombreux ouvrages. Il est enseigné à tous les écoliers des Etats-Unis. Il a été lu à la télévision par l'acteur Peter Ustinov, et l'association Greenpeace en a fait une affiche.



Comment peut-on acheter ou vendre le ciel , la chaleur de la terre ? L idée nous semble étrange.

Si la fraîcheur de l'air et le murmure de l'eau ne nous appartiennent pas, comment peut- on les vendre? Pour mon peuple, il n'y a pas un coin de terre qui ne soit sacré. Une aiguille de pin qui scintille, un rivage sablonneux, une brume légère au milieu des bois sombres, tout est sain aux yeux et dans la mémoire de ceux de mon peuple.

La sève qui monte dans l'arbre porte en elle la mémoire des Peaux- rouges, chaque clairière et chaque insecte bourdonnant est sacré dans la mémoire et la conscience de mon peuple.

Les morts des Blancs oublient le pays natal quand ils s'en vont dans les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre si belle, puisque c'est la mère des Peaux-rouges. Nous faisons partie de la terre si elle fait partie de nous. Les fleurs qui sentent si bon sont nos soeurs, les cerfs, les chevaux, les grands aigles sont nos frères, les crêtes rocailleuses, l'humidité des prairies, la chaleur du corps des poneys et l'homme appartiennent à la même famille.

Cette terre est sacrée pour nous. Cette eau scintillante qui descend dans les ruisseaux et les rivières, ce n'est pas seulement de l'eau, c'est le sang de nos ancêtres.

Si nous vendons notre terre, vous ne devez jamais oublier qu'elle est sacrée. Vous devez apprendre à vos enfants qu'elle est sacrée, que chaque image qui se reflète dans l'eau claire des lacs est comme un fantôme qui raconte des évènements, des souvenirs de la vie de ceux de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.

Les rivières sont nos soeurs, elle étanchent notre soif, ces rivières portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler tout cela et apprendre à vos enfants que les rivières sont nos soeurs et les vôtres et que, par conséquent, vous devez les traiter avec le même amour que celui donné à nos frères.

Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas notre façon de voir. Un coin de terre pour lui en vaut un autre, puisqu'il est un étranger qui arrive dans la nuit et tire de la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas sa soeur mais son ennemie; après tout cela il s'en va. Il laisse la tombe de son père derrière lui. En quelque sorte il prive ses enfants de la terre et cela lui est égal. La tombe de son père et les droits de ses enfants sont oubliés. Il traite sa mère la terre et son père le ciel comme des choses qu'on peut acheter, piller et vendre comme des moutons ou des perles colorées. Son appétit va dévorer la terre et ne laisser qu'un désert.

Je ne sais rien, nos façons d'être sont différentes des vôtres.

La vue des villes fait mal aux yeux des Peaux-rouges.

Peut-être parce que le Peau-rouge est un sauvage et qu'il ne comprend pas.

Il n'y a pas de coin paisible dans les villes de l'homme blanc. Nulle part on n'entend la poussée des feuilles au printemps ou le frottement de l'aile des insectes.

Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage que je ne comprends pas.

Dans les villes, le tintamarre semble seulement insulter les oreilles. Que reste-t-il de la vie si
on ne peut entendre le cri de l'engoulevent et le croassement des grenouilles autour de l'étang pendant la nuit?

Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage que je ne comprends pas.

L'indien préfère le son si doux du vent qui frôle la surface de l'étang et l'odeur du vent, elle même purifiée par la pluie du milieu du jour ou parfumée par les pins.

 

 
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Nous sommes également présents sur le Marché couvert, du Blanc (36 / Indre), le Samedi matin de 7h à 13h.
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